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Critique : Transformers : Rise of the Beasts (2023) – Marvel avec des robots

Transformers : Rise of the Beasts est un blockbuster de science-fiction américain, sorti le 7 juin 2023, réalisé par Steven Caple Jr.
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C’est quoi le synopsis de Transformers : Rise of the Beasts

Bon en gros, il y a des robots animaux qui ont un objet qui permet de voyager dans l’espace et le temps et des méchants robots mangeurs de planètes veulent cet objet (Docteur Strange vs Dormamo ?). Devinez où les robots animaux se planquent ? Sur Terre, bingo. On suit deux nouveaux personnages : Noah, qui a une vie modeste à New York et qui se débrouille pas mal en électronique, et Elena, une jeune scientifique en herbe. Puis vous pouvez imaginer aisément la suite.

Alors, c’est bien Transformers : Rise of the Beasts ?

Transformer : Rise of the Beasts se révèle être une déception majeure qui laisse peu de place au doute. Malgré quelques éléments visuels attractifs, le film souffre d’un scénario creux et ridicule, des personnages sans intérêt et des combats dénués d’amusement et d’impact.

L’absence de Michael Bay à la réalisation se fait sentir, et il est difficile de trouver une raison valable pour l’existence de ce septième opus dans la franchise Transformers, si ce n’est pour vendre des jouets.

Les points forts de Transformers : Rise of the Beasts

Les rares points forts de Rise of the Beasts se concentrent sur son esthétique visuelle et ses effets spéciaux impressionnants. Les images restent agréables à regarder et témoignent d’un certain savoir-faire artistique. Cependant, ces éléments ne suffisent pas à sauver le film de ses nombreux défauts.

Sinon, il y a Mister V. Il joue Mister V en moins drôle. Voilà. Ça fait sourire par moment.

Les points faibles de Transformers : Rise of the Beasts

Le film souffre de nombreux points faibles qui minent considérablement son appréciation. Tout d’abord, le scénario est vide et laisse peu de place à l’intrigue ou à des développements intéressants. Les personnages sont dépourvus de profondeur et se révèlent insignifiants, laissant le spectateur indifférent à leur sort. 

Anthony Ramos, qui incarne Noah, ressemble au rappeur Georgio. C’est pas un point faible, mais ça me fait juste marrer de le souligner.

La présence des Maximals, avec leur nom peu inspiré, n’apporte rien de pertinent à l’histoire et ne suscite guère d’intérêt. On a l’impression de revoir le film les Éternels de Marvel (qui n’était vraiment pas terrible), donnant l’impression d’avoir revu une version robotisée et moins réussie de ce dernier.

Le point culminant du désastre se trouve dans la transformation du personnage principal en Megaman, ajoutant une dose de ridicule et de confusion supplémentaire à l’ensemble. De plus, la musique du film est médiocre, à l’exception du thème d’Optimus qui apparaît seulement à la toute fin, mais ne parvient pas à sauver le reste de la bande sonore.

Bilan de Transformers : Rise of the Beasts

Transformer : Rise of the Beasts est nul. Son scénario creux, ses personnages insignifiants et ses combats dénués d’impact ne parviennent pas à susciter l’intérêt du spectateur. Malgré des effets spéciaux impressionnants et une esthétique visuelle plaisante, ces éléments ne sont pas suffisants pour sauver le film d’un bilan général décevant. En fin de compte, cette nouvelle addition à la franchise Transformers semble principalement motivée par la volonté de vendre des jouets, plutôt que d’apporter une contribution significative à l’univers de ces robots emblématiques. Redonnez la franchise à Michael Bay, qu’il mette une couche d’explosions et d’impacts.